Aller au contenu

Ou acheter des produits moins cher ?

Pourquoi certains produits sont moins chers à acheter en ligne?

Oui, il ya des avantages de prix pour les achats en ligne. Mais il ya aussi des avantages significatifs à maintenir les économies locales fortes et saines qui maintiennent des emplois dans votre collectivité, ou à des organismes de bienfaisance locaux. Ces marchands souffrent et ont besoin de votre soutien. Si c’est seulement une différence de quelques euros, penser à long terme et acheter des produits locaux. Enregistrez votre achat en ligne pour les très grandes réductions.

La vente en ligne ne s’est pas fait en une seule fois, mais peu à peu, les gens ont commencé à acheter leurs marchandises moins chères, comme des cartouches d’encre en ligne. Il ya différentes raisons pour cette tendance, allant des smartphones aux compagnies maritimes. Alors, pourquoi certaines choses sont moins chère par Internet?

L’une des principales raisons pour lesquelles les prix sur Internet sont moins cher, c’est que les sites de commerce électronique nécessitent très peu d’investissements supplémentaires. les grandes surfaces spacieuses pleines de marchandises doivent être éclairé, chauffé, refroidi et nettoyé.

La grande distribution

ou_acheter_moisn_cher_sur_internet

selon wikipedia

La grande distribution désigne l’ensemble des opérateurs :

pratiquant le commerce de détail de biens de consommation et éventuellement des services associés (livraison, SAV, financement…) à destination des consommateurs finaux ;
à partir de points de vente disposant d’une grande surface réservée à la vente, ainsi que d’autres zones accessibles aux clients (parking) ou non (stocks-réserves) ;
organisés pour la vente en libre-service (les produits sont exposés sur des linéaires pour être choisis et prélevés directement par le consommateur).

En France, selon la définition de l’INSEE1, le secteur économique de la « Grande distribution » est constitué des hypermarchés et des entreprises dites du grand commerce spécialisé.

La distribution bancaire, vente de masse des services financiers et des opération de banque est, de la sorte, exclue de cette définition.

Au sens de l’INSEE, le secteur représente plusieurs centaines de milliers d’emplois : 636 200 personnes en France — pour l’année 2008 — selon la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution.

Modèle économique de la Grande Distribution

Traits caractéristiques

Produits d’appel : « faire un ilôt de perte dans un océan de profit » (Bernardo Trujillo)
Forte rotation de produits à faible marge
Besoin en fonds de roulement négatif autorisant le placement d’une trésorerie structurellement excédentaire
Recours aux marques de distributeur (ou MDD)
Négociation serrée avec les fournisseurs, conduite par les centrales d’achat, en matière de référencement, de tarifs, promotions, remises, ristournes et autres accords de coopération.

Marges dégagées dans les rayons alimentaires

Le deuxième rapport de l’Observatoire des prix et des marges décortique précisément la formation des prix dans les cinq rayons alimentaires (boucherie, charcuterie, volaille, produits laitiers et fruits et légumes frais) en distinguant les marges brutes et nettes réalisées. Ce qui permet de connaitre non seulement la différence entre prix d’achat et prix de vente, mais aussi quels sont les coûts des enseignes (salaires, frais de centrale, loyers, etc.).

Les résultats sont variables d’un rayon à l’autre. Sur 100 euros de chiffre d’affaires, la distribution reverse à ses fournisseurs entre 69,40 euros (pour la charcuterie) et 76,60 euros (pour les produits laitiers). Soit une marge brute comprise entre 23,40 et 30,60 euros. Avec cette somme, les hypers et supers payent leur personnel (4 à 10,40 euros selon le service rendu : service à la coupe ou libre service) et toutes autres charges. Au bout du compte, la marge nette moyenne est de 1,90 euros. Négative pour la boucherie (-1,90 euros), légèrement positive (+0,60 euros) pour les fruits et légumes et (+1,90 euros) pour les produits laitiers, et beaucoup plus confortable pour les rayons charcuterie (5,10 euros) et volaille (5,90 euros).

Le rapport – malgré un effort de transparence évident – comporte cependant au moins deux biais importants : d’une part, la méthode de répartition des frais utilisée par les enseignes n’est pas connue, d’autre part l’étude porte non sur des produits ou familles de produits, mais sur des rayons entiers.

grossistes annonce2

Organisation de la grande distribution

Clientèle visée et assortiment offert

La Grande Distribution s’adresse essentiellement au consommateur final en lui présentant une offre :

généraliste : l’assortiment vise à satisfaire de façon plus ou moins étendue, en fonction de la surface de vente disponible, via un assortiment plus ou moins large et profond l’ensemble des besoins plus pertinents des ménages consommateurs en provenance de la zone de chalandise. Le nombre des articles offerts peut être compris dans une fourchette allant de plusieurs centaines à plusieurs dizaines de milliers de conditionnements/présentations (ex. : Hypermarché généraliste de l’enseigne E.Leclerc ou Carrefour).
spécialisé : L’assortiment, également plus ou moins large et profond mais cible une ou quelques familles de produits, dans le but de satisfaire des besoins spécifiques.(ex. : Magasin Décathlon orienté vers l’univers « Sports et Loisirs » ou Ikéa orienté vers l’univers « Aménagement-Décoration de la maison »).

Les surfaces de vente dédiées spécifiquement aux professionnels sont réputées faire partie du secteur de la Distribution professionnelle (ex. : l’enseigne Métro).

Organisation adaptée à l’assortiment et aux surfaces de vente

Selon Libre Service Actualités, périodique professionnel (français) de référence, la « grande distribution » est censée regrouper :

en fonction de la surface de vente des lieux de vente tels que : hypermarchés, supermarchés, supérettes, discounters (ex. : hard-discount), magasins populaires[C’est-à-dire ?], grands magasins, centres commerciaux)
en fonction de l’assortiment des surfaces de vente répertoriées comme : grandes surfaces spécialisées (GSS), grandes surfaces alimentaires (GSA), ou encore grandes surfaces de bricolage (GSB).

Organisation pour assurer la logistique et les services

Quels que soient les liens juridiques ou économiques unissant les points de vente : intégrés, coopératifs, franchisés ou indépendants associés, ils constituent aussi la base d’une intégration verticale pouvant couvrir différentes fonctions :

Fonctions de référencement et d’achat en gros
Fonctions logistique d’approvisionnement et de stockage
Fonctions de production de biens et/ou partage de services supports
Services bancaires et financiers
Services comptables
Système d’information et informatique
Services après-vente

Structuration par groupes et enseignes

Entreprises_Distributeurs_americains_achat_bas_prix

Voici le graphique illustrant le chiffre d’affaires de différents distributeurs aux États-Unis en 2006.

Ces organisations sont intégrées horizontalement et disposent d’une enseigne, afin de bénéficier d’une communication et d’une image de marque commune à tous les commerces qui le composent.

Les magasins faisant partie d’un même groupe peuvent être liés par des liens juridiques et économiques divers : Points de vente intégrés, Points de vente coopératifs ou Points de vente franchisés, Association de magasins indépendants (ayant ou n’ayant une position dite ducroire vis-à-vis des tiers).

En France

Le développement des implantations, la concurrence économique au sein du secteur est -en 2007- selon les principaux économistes6- sont fortement encadrés, sinon limités par les multiples lois et règlementations (loi Royer, Commission nationale d’équipement commercial, CDUC, loi Galland, …).

Pour les uns, cette réglementation se justifie par le fait qu’elle protège le commerce de proximité ou les producteurs face à une emprise trop forte de la grande distribution.
Pour d’autres, elle handicape le pouvoir d’achat car elle aboutit dans la pratique à « tempérer » la concurrence en réduisant le nombre des distributeurs -voire en instaurant un numerus clausus- pouvant exercer une activité commerciale sur le périmètre d’une zone de chalandise déterminée7.

acheter a petit prix sur le net

 

Encadrement légal

La distribution alimentaire nécessite des installations et des procédures spécifiques le plus souvent encadrées par des lois et est contrôlée par l’administration et des agences publiques.

Par exemple, en France, les réglementations sanitaires et vétérinaires encadrent depuis toujours la production, la distribution et l’évacuation des déchets alimentaires (boucherie, charcuterie…). L’Afssa, agence publique française dépendante de la Direction des services vétérinaires du Ministère de l’agriculture, est chargée d’évaluer ce risque sur le territoire. Sans être chargée des médicaments qui relèvent du ministère de la Santé, elle est l’équivalent de la Food and Drug Administration américaine.

recherche_produits_pas_cher

Risques liés aux stockages et aux installations

Les installations frigorifiques comprenant des chambres froides, des banques réfrigérés et des compresseurs nécessaires à la bonne conservation des aliments sont, en France soumises, à autorisation au titre de la législation des ICPE. Il en est de même pour les stations de distribution de carburant soumises à déclaration en deçà d’un certain débit distribué et d’une autorisation au-delà.

Prévention des risques

La méthode de contrôle dite de Système d’analyse des dangers et de maîtrise des points critiques (HACCP) est une obligation législative européenne dans le secteur de la production et de la distribution alimentaire (ISO 22000).

Responsabilité sociale

En 2007, Le CIES a lancé un programme mondial visant au respect des clauses sociales nommé GSCP (Global Social Compliance Programme). Ce projet incluant les plus grands distributeurs mondiaux mais également des fournisseurs de la grande distribution s’appuie sur les textes internationaux et vise à promouvoir et faire respecter les meilleurs pratiques concernant les questions de santé, sécurité, salaires, travail des enfants et discriminations dans les pays producteurs où les législations font défaut où ne sont pas respectées.

En 2008, l’association de distributeurs, le Food Business Forum (CIES), a prôné le renforcement de la prise en compte du développement durable dans le secteur de la grande distribution « Même si la grande distribution n’est pas la mieux placée pour être à l’avant garde du développement durable, il lui faut quand même agir ».

Pression des consommateurs pour le développement durable

Les notions de « Consom’action » et de « citoyen-consommateur » sont utilisées par certains auteurs pour décrire l’influence de groupe de consommateurs, par leur pouvoir économique, utilisant en plus des caractéristiques influant sur leur propre utilité (prix des biens, qualité, quantité), des critères écologiques ou éthiques comme le bilan-carbone ou la responsabilité sociale des producteurs ou des distributeurs.

Prix de vente aux consommateurs et bilan carbone

Comme toute activité humaine, le secteur de la grande distribution génère des émissions de gaz à effet de serre (transport, commercialisation). Les biens vendus ont des « bilans carbone » (mesure de la quantité d’énergie fossile utilisée pour la production, le transport et la commercialisation) différents en fonction de leurs caractéristiques, de leur mode de production, de la chaîne logistique d’acheminement entre site de production et site de vente (dont l’organisation est réalisée selon le critère de l’optimisation des coûts – des carburants en particulier), du format du point de vente ; et du trajet parcouru par le consommateur. Le bilan carbone n’est pas toujours reflété par son prix.

Certains biens peuvent être échangés internationalement en fonction des avantages compétitifs des économies (du fait de spécialisation, de caractéristiques climatiques, du niveau d’imposition… ), des taux de change nominaux et réels, et des différences de réglementation (règlementation du travail, normes sociales et écologiques, …) entre pays, qui impactent le coût de production des biens. Le bilan carbone d’un article n’est alors pas forcément corrélé au prix de vente, puisque les coûts de transport élevés peuvent être compensés par un moindre prix à l’achat dans le pays producteur.

Position dominante de la grande distribution

Pour de nombreux articles et plus particulièrement dans le secteur alimentaire, la grande distribution exerce une position dominante par rapport aux filières d’approvisionnement. Lorsqu’un nombre restreint d’entreprises constitue le principal débouché de la plus grande partie de ces filières, la forte concentration de la distribution renforce cette domination (surtout dans les pays développés, et de manière croissante dans les pays en développement).

À l’inverse, les petits producteurs et paysans sont très nombreux et souvent victimes de la surproduction. Pour écouler leurs stocks ces petits producteurs sont souvent contraints de se plier aux exigences de la grande distribution ou des industriels de la transformation.

Concurrence transparente

Dans un marché libre, la concurrence fait baisser les prix puisque les acheteurs veulent faire des achats partout où ils peuvent obtenir le meilleur prix.

 

 

grossistes annonce2

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *